| | ~Serez-vous... à l'Olympe du royaume? | |
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♕ Je suis Monsieur Alexandre ♕ Témoin de vos aventures♟ Complots : 76 ♟ Arrivée à Paris : 09/10/2011 ♟ Localisation : Au-dessus de toi ♟ Profession : Gardien de vos secrets
| Sujet: ~Serez-vous... à l'Olympe du royaume? Lun 28 Nov - 13:35 | |
| La famille royale Craignez de vous approcher du soleil ! Vous vous en brûlerez les ailes. La famille royale reste au sein de son cocon d’or et d’argent et ne se mêlera à vos intrigues que si votre place est assurée. Mais ne croyez pas qu’elle ne fait que subir vos complots, elle en est même parfois l’instigatrice. Pour ne point la craindre, il vous faudra la séduire, lui plaire et tâcher de grader une infinie constance. Votre tête est fragile sur vos épaules, ne la laissez par tomber ! ~ Libre ~ Réservé ~ Pris Gabrielle de Verneuil ~ Felicity JonesMarie de Chevreuse ~ Cécile Cassel Gaston d'Orléans ~ Andrew Garfield Armand du Plessis ~ Michael Fassbender Arnaud de Mondaye ~ Robert Pattinson Louis de Sérigny ~ J J Feilds
Dernière édition par Monsieur Alexandre le Ven 16 Mar - 13:55, édité 4 fois |
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| Sujet: Re: ~Serez-vous... à l'Olympe du royaume? Lun 28 Nov - 14:05 | |
| ♦ Gabrielle de Verneuil ♦ ♣23 ans ♣Mariée, 2 enfants ♣Française ♣Duchesse de la Valette, fille légitimée de Henri IV et d'Henriette de Verneuil ♣Felicity Jones ♣ PRISE Facétieuse, optimiste, enjouée, frivole, débordante d’idées, capable d’une grande sournoiserie, discrète sur ce qui la touche personnellement, débrouillarde, franche, facilement détestable si l’on se frotte à son humeur vive Fille d’Henri IV et de Henriette d’Entragues, née en 1603, elle fut l’un de ces enfants illégitimes du roi, à l’enfance houleuse et ternie par la disgrâce.
L’ambition teintée d’orgueil de sa mère rendra son enfance chaotique : lancée dans un complot contre le propre fils de son royal amant, le futur Louis XIII, Henriette se verra descendre dans l’estime du roi ; si elle parvint à revenir en grâce, ses demandes, attentes et volontés ambitieuses lasseront Henri IV qui en 1609, la laissera quitter la cour pour rejoindre les terres de Verneuil qu’il lui avait offerte quelques années auparavant. C’est là que Gabrielle grandit, loin de la cour qui avait vu ses premiers pas et ses premières facéties. Eloignée de ce théâtre, Henriette ne voulu pas moins la meilleure éducation pour ses deux enfants, Gaston – né en 1601 – et Gabrielle. Elle les entoura des meilleurs précepteurs, jouissants en province de son titre pourtant éteint de favorite royale. Mais si les premiers temps furent heureux pour les enfants, la régence terni ce tableau et dès 1611, la jalousie de Marie de Médicis vint s’abattre sur la marquise de Verneuil, l’accablant de dettes. Ce fut dans cette adolescence aux plaisirs restreints que la caractère de Gabrielle se découvrit pourtant. Optimiste à l’extrême, s’efforçant de conserver cette gaieté qui lui était propre et son air espiègle, elle savait donner quelques couleurs à un quotidien qui se ternissait petit à petit. Ses facéties sans gravité, ses jeux, ses bons mots savaient alléger les esprits. Mais elle développa dans ces années un grand sens de la débrouillardise et une pugnacité à toute épreuve. La disgrâce de Marie de Médicis mis fin à ces années sombres et sans rancœur contre l’ancienne favorite, afin de ne plus accabler une demie-sœur qui l’avait été par l’italienne, il fit revenir à la cour Gabrielle, lui offrant peu après une place dans la Maison de la Reine. Elle pu alors laisser libre cours à son caractère fantasque. Extravertie, ne cherchant que l’amusement, elle se lia avec Marie de Chevreuse pour ôter la jeune reine du lourd carcan espagnol. Mais la chute de celle-ci, puis sa fausse-couche mit un terme à ces jeux insouciants et Gabrielle se vit alors mariée, en 1622, à Bernard de Nogaret, duc de la Valette, qui s’empressa de mettre fin à cette réputation. Le duc, d’humeur aigre envers elle, n’empêcha pas Gabrielle se s’échapper de son emprise et d’entrer dans les plus sombres complots.
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Marie-Aimée de Chevreuse Toutes deux se rencontrèrent dans leur charge auprès de la jeune reine. De même caractère, aimant les bons mots et les jeux insouciants, elles s’attachèrent vite l’une à l’autre et très vite, on chercha à séparer ces deux anges noirs tournoyant autour d’Anne d’Autriche. Lors de ses exils et disgrâce, Marie, âme de toutes leurs intrigues, confie les rênes à Gabrielle et celle-ci restée à la cour, lui ait chaque jour d’excellents rapports. Si elles ne peuvent se voir publiquement, elles trouvent de nombreux moyens de pouvoir se retrouver et depuis peu, Gabrielle cherche à savoir ce que Marie ne veut lui dévoiler. Elle n’apprécie pas ce silence entre elles et redoute d’être mise à l’écart. Pourtant, Marie aura bientôt besoin d’yeux et d’oreilles à la cours, si elle se voit à nouveau éloignée du Louvre. Louise de Nogaret Si Gabrielle n’apprécie guère son mari, elle aime encore moins sa belle-sœur, d’une curiosité sans limite et d’un culot qu’elle ne supporte pas. Les deux jeunes femmes ne cessent de se chercher et pour contrer Louise, Gabrielle ne peut jusqu’alors qu’user de son statut de demi-sœur du roi, qui a gardé pour elle une affection en souvenir de son enfance également troublée par la régente. Mais Gabrielle sait qu’elle ne peut aller jusqu’à l’insulte et contre la jeune femme qui en vient à fouiner bien trop près de ses affaires personnelles, la jeune femme décide d’employer des moyens bien plus radicaux, à commencer par s’attaquer au frère de Louise, son propre mari.
Guillaume de Montmorency Comment ne pas résister aux charmes irrésistibles du comte d'Eybens? Et comment refuser les faveurs d'une digne fille d'Henri IV? Gabrielle a su faire succomber Guillaume, malgré l'attirance de celui-ci pour une autre jeune femme. Cette liaison pouvait être un jeu d'une nuit, mais petit à petit, l'un et l'autre ont trouvé leur intérêt commun à cela. Gabrielle voit en Guillaume une âme prête à tout pour lave l'honneur familial et la jeune femme est pour Guillaume une entrée dans la cour des Grands, endroit où jusqu'alors il n'a su trouver sa place. Doux jeu de dupe, mais qui est le plus dupé des deux?
Gaston d'Orléans Demi-frère, demie-soeur...il y a pourtant entre eux une indéfectible amitié, même si rien ne le laissait présager! Éloignés l'un de l'autre, l'enfant-chéri de marie de Médicis a toujours refusé que son fils ne s'acoquine avec une fille bâtarde. Pourtant, lorsque Gabrielle revint à la cour et que les intrigues de la reine-mère l'éloignèrent de Paris, le frère et la sœur se rapprochèrent par leur esprit et leur caractère. Pleine de vivacité, Gabrielle a très vite observé le caractère fluctuant de son cadet et petit à petit elle a su le manipuler silencieusement, malgré ses nombreux scrupules, pour le pousser à la rébellion. Gaston, bien que jeune, n'a jamais refusé la présence de la jeune femme à ses côtés, bien que devinant ses desseins à son encontre. Il reste vigilant, ne souhaitant être utilisé par ce diablotin aux traits angéliques.
♦ Marie-Aimée de Chevreuse ♦ ♣25 ans ♣Mariée, 5 enfants, dont trois d'un premier mariage ♣Française ♣Duchesse de Chevreuse, épouse du prince de Joinville et anciennement duchesse de Luynes ♣Cécile Cassel ♣PRISE Vive, entière, extravertie, coquette, séductrice, vivace, intelligente, peu honnête, infidèle sauf à sa propre cause, ambitieuse, loyale à ses amitiés, passionnée, aventurière, de mauvaise foi Fille du duc de Montbazon, Marie épouse en 1617 Charles d’Albert, duc de Luynes, connétable de France et favori de Louis XIII. Elle joui quelques années de la position de son mari pour attirer à elle le jeune roi qu’elle séduit sans désir de le détourner de la reine: son unique but est d’asseoir sa position à la cour. Marie y parvint et est nommée surintendante de la Maison de la reine. Devenue très proche d’Anne d’Autriche, elle en devient l’amie fidèle, la confidente et l’entraîne hors des limites fixées par son éducation espagnole rigoureuse. Mais les éclats de la jeune duchesse coûtèrent une grossesse à la reine et suite aux débordement de Marie et de ses amies, celles-ci sont disgraciées et quittent leur charge. Nous sommes en 1622, et Marie se lance alors dans ses premières rancoeurs, ses premiers complots contre ce roi désabusé et pis encore: son sinistre ministre qui la tient en basse estime. Le duc de Luynes décédera en décembre 1622, mais Marie n’attendra que quelques mois pour se remarier à son amant, Claude de Lorraine, duc de Chevreuse. S’il ne la pousse pas dans ses intrigues, il ne la trahi pas non plus et reste éloigné de ces cabales. Peu gênant et peu jaloux, Marie laissera facilement ses scrupules de côtés pour convoler dans d’autres bras...ou comploter de sombres desseins. Âme de la rébellion, elle se sait intouchable par sa position.
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René d'Herblay - Aramis Marie est bien un argument qui retient Aramis dans cette vie militaire et bassement matérielle. Ils se connurent alors qu'il n'était encore que jeune séminariste et Marie était l'hôte recevant l'officier lorsqu'il vint le provoquer en duel. Loin de vouloir dénoncer Aramis lorsqu'elle le revit, Marie fut dans la confidence et rapidement, les deux jeunes gens devinrent amants, quoique platoniques. L'un et l'autre se ressemblent dans la sournoiserie et le secret. Ils n'ont pour l'autre que très peu de secret, sachant leur intelligence à égalité; au contraire, ils n'hésitent pas à ce concerter. Il voit en elle son pendant féminin: il l'adore, la cache pour que leur lien ne soit découvert et elle ne cesse de l'éloigner de sa vocation première. Si elle cesse de lui écrire, il lui prend l'envie de revenir vers la religion, mais sitôt qu'elle lui retourne un billet, il l'aime un peu plus. L'ambition qu'elle sent chez lui la fascine et elle profite de l'adoration qu'il lui porte pour le pousser dans ses projets.
Henry of Holland La lutte fut rude pour Marie, mais ses charmes eurent raison de la fidélité de l'anglais. Ce fut une passion réciproque qui les lia; une passion soudaine, vive, telle que Marie ne l'avait encore jamais connu et qui brisa les résolutions d'Henry. Les deux favoris se ressemblent bien trop pour ne pas s'entendre et c'est l'intrigue amoureuse qui fit se rejoindre leur deux esprits de courtisans. Aussi intrigants l'un que l'autre, aussi intouchables de par leur position actuelle, aussi riche et puissant à certains niveaux, ils n'hésitent jamais à se concerter, à se confier leurs désirs mutuels. Jamais, de mémoire d'oreiller, l'on ne connu autant de confidences!
Gabrielle de Verneuil Toutes deux se rencontrèrent dans leur charge auprès de la jeune reine. De même caractère, aimant les bons mots et les jeux insouciants, elles s’attachèrent vite l’une à l’autre et très vite, on chercha à séparer ces deux anges noirs tournoyant autour d’Anne d’Autriche. Lors de ses exils et disgrâce, Marie, âme de toutes leurs intrigues, confie les rênes à Gabrielle et celle-ci restée à la cour, lui ait chaque jour d’excellents rapports. Si elles ne peuvent se voir publiquement, elles trouvent de nombreux moyens de pouvoir se retrouver et depuis peu, Gabrielle cherche à savoir ce que Marie ne veut lui dévoiler. Elle n’apprécie pas ce silence entre elles et redoute d’être mise à l’écart. Pourtant, Marie aura bientôt besoin d’yeux et d’oreilles à la cours, si elle se voit à nouveau éloignée du Louvre.
Camilla Concini Si c'est Louis XIII qui a ordonné la mort de l'ancien maréchal d'Ancre, c'est Luynes qui l'a mis à exécution. Un traquenard ignoble. Les Luynes sont les ennemis n°2, une race de vipères à exterminer. Or voilà que Marie de Chevreuse, sa veuve, fort occupée à tramer mille et un complots, comme toute la cour le sait, vient de requérir les services d'une gouvernante. Camilla alias Julie s'est présentée. Pas un seul accent italien pouvant la trahir sur ses origines. Elle a mis en place un stratagème pour obtenir la confiance de la duchesse. Empoisonner légèrement un des petits et avoir fait en sorte d'avoir agi très vite pour le sauver ! Le gamin depuis adore son héroïne ! Elle est donc restée en fonction. La prochaine fois, les trois nés du premier lit, les trois Luynes, les trois vipères, passeront outre ! Elle ne dosera plus. La duchesse ouvrira t-elle les yeux avant qu'elle n'y parvienne ? Affaire à suivre ...
♣18 ans ♣Célibataire ♣Française ♣Duc d'Orléans, prince de France, deuxième fils du feu roi Henri IV ♣Andrew Garfield ♣RESERVE Inconstant ; Infidèle ; Comploteur-né ; Ambitieux ; Aime les arts et grand mécène ; Orgueilleux ; D’humeur extraverti et enjouée ; Joueur ; Susceptible ; Galant Si l’inconstance avait un nom, ce serait celui du jeune frère du roi, Gaston. Aimé à l’extrême par une mère qui a toujours voulu le favoriser, ambitieux mais sans réel don de mettre sur pied ses chimères, Gaston apparaît pourtant comme un garçon des plus charmants, grand joueur et – dit-on – amateur de femmes. Eternel second, il a depuis toujours cherché les faveurs de la régente italienne et aujourd’hui encore, alors que le roi n’a pas encore d’héritier, il espère monter un jour sur le trône de France s’il devait arriver malheur à son aîné. Pour cela, il ne met aucune limite à son imagination et à la bienséance et projette de plus sombres complots, qu’ils soient imaginaires ou bien réels. Mais un prince de France ne pouvant être mêlé à ces intrigues, il sait, par quelques douceurs hypocrites, s’entourer d’âmes serviles qu’il pourra dénoncer si le plan échoue. Encore jeune, il a pourtant depuis longtemps remisé ses scrupules et n’hésite pas à faire tomber ceux qui pourraient le gêner ou qui feraient les coupables idéaux. Orgueilleux, il espère que son mariage sera repoussé et n’hésite pas à refuser des noms qui s’ébruitent dans les cabinets royaux. Inconstant, il ne cesse d’aller d’un complot à un autre, tournant le dos à ce qu’il appelait ses « amis » et se créant ainsi une petite cours de jeunes gens tout aussi velléitaires que lui. Mais on ne peut ôter au jeune homme une certaine douceur dans ses gestes et paroles, un grand attachement à l’art, facette qu’il tient de ses racines italiennes. Grand mécène, il aime s’entourer d’artistes et poètes.
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Armand du Plessis Richelieu ne l'appelle plus que " le frère maudit" . Gaston n'est ni plus ni moins que le nerf de tous les complots qui assaillent jour et nuit le cardinal. Ils sont sans doute autant acharnés l'un que l'autre dès qu'il s'agit de se faire tomber. Rage d'autant plus renforcée chez Gaston, puisque le Cardinal évente toujours ses conspirations, et le fait s'humilier devant le roi son frère. Entre ces deux là, si parfois la diplomatie exige de se prendre dans les bras, les couteaux sont affûtés. Richelieu qui pourtant n'est pas aimé par le roi a dès que cela touche Gaston, un atout maître dans sa poche. Louis XIII détestant tout autant son frère. Cette carte blanche, Richelieu l'utilise merveilleusement bien. L'un est vipère, l'autre félin guettant la moindre erreur de sa proie. Ce jeu en est devenu mortel. Tous les deux risquent leur tête, selon la direction que prendront des évènements. Richelieu plus aisément puisqu'il n'est pas de sang royal, mais un attentat contre un membre de la famille royale, n'est pas à dédaigner. A force de trop tirer sur la corde, celle-ci risque de casser !
Gabrielle de Verneuil Demi-frère, demie-soeur...il y a pourtant entre eux une indéfectible amitié, même si rien ne le laissait présager! Éloignés l'un de l'autre, l'enfant-chéri de marie de Médicis a toujours refusé que son fils ne s'acoquine avec une fille bâtarde. Pourtant, lorsque Gabrielle revint à la cour et que les intrigues de la reine-mère l'éloignèrent de Paris, le frère et la sœur se rapprochèrent par leur esprit et leur caractère. Pleine de vivacité, Gabrielle a très vite observé le caractère fluctuant de son cadet et petit à petit elle a su le manipuler silencieusement, malgré ses nombreux scrupules, pour le pousser à la rébellion. Gaston, bien que jeune, n'a jamais refusé la présence de la jeune femme à ses côtés, bien que devinant ses desseins à son encontre. Il reste vigilant, ne souhaitant être utilisé par ce diablotin aux traits angéliques.
Camilla Concini Lorsqu'on ne peut pas avoir l'aîné, on se rabat sur le cadet. Difficile en effet de rentrer dans le lit, une porte comme une autre ouvrant sur la mort, du roi de France que chacun sait être dégoûté par les femmes. Alors Camilla s'est assurée de pouvoir se glisser entre les draps de Gaston. Ma foi, il n'a pas semblé à l'italienne que cette première nuit lui avait déplu. Bien au contraire, le prince en redemande. Elle se fait un plaisir de le satisfaire, jusqu'au jour où les dîners qu'ils prennent ensemble ne finissent empoisonnés. Qui lui reprocherait ça ? Le roi ? Allons, il serait au contraire ravi d'être débarrassé de son frère bien trop gourmand dès qu'il s'agit de la couronne de France. Ce traître qu'il hait par dessus tout. Camilla est même partante pour pousser le vice à se faire protéger du roi, et être missionnée par le roi pour cette besogne, avant bien entendu de le faire disparaître lui aussi.
Isabelle de Lamballe Etre si proche de la reine ne peut qu'être un atout majeur pour Isabelle, qui se charge personnellement d'espionner le jeune et frivole duc pour le compte du cardinal. La tâche n'est pas aisée et Isabelle parvint à donner quelques petites informations à son maître, mais le prince de l'inconstance et du libertinage pourrait bien mettre sa mission à rude épreuve! Le cardinal se montre souvent mécontent et Isabelle cherche par tous les moyens à s'attirer les faveurs du prince, sans entraver sa liberté...mais le nom d'une certaine Montpensier pourrait changer la donne.
Dernière édition par Monsieur Alexandre le Ven 16 Mar - 13:22, édité 17 fois |
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| Sujet: Re: ~Serez-vous... à l'Olympe du royaume? Dim 11 Mar - 13:01 | |
| Les conseillers Ministres, secrétaire, conseillers ou politiques, ne croyez pas que leurs vies se résument à de longues réunions: craignez plutôt leur esprit fin et aiguisé, le sens des affaires et leur don de manipulation. Car sous le masque d'un honnête homme peut se cacher de plus sombres desseins pour celui dont le but est défini. Ces conseillers, gardez-les auprès de vous car leur bras est long et leur influence est grande.
♣ 40 ans ♣ Célibataire ♣ Français ♣ Cardinal - duc de Richelieu et de Fronsac. ♣ Michael Fassbender ♣ PRIS Intransigeant, intelligent, sournois, impitoyable, manipulateur, habile politique, désire de tout son être la gloire de la France à qui il sacrifierait tout. Rien ne prédestinait le jeune Armand à devenir un homme d'état avec autant de pouvoirs, éclipsant même jusqu'à son maître, le Roi Louis XIII. En effet de petite noblesse de surcroît pauvre, sa naissance n'eut rien de glorieuse, surtout lorsque vinrent s'ajouter les malheurs familiaux comme la perte de son père alors qu'il n'avait que cinq ans. Les Du Plessis ne doivent qu'à la faveur royale de ne pas avoir été acculés à la ruine. Très tôt, sa mère l'envoya au collège pour y apprendre le métier des armes, mais Richelieu n'ayant aucun goût pour la guerre prit comme une bénédiction, lorsque son aîné refusa l'évêché de Luçon. Il embrassa donc à vingt ans, la carrière ecclésiastique qui lui convenait davantage étant, qui plus est de santé fragile.
Ayant su par ses discours s'attirer les bonnes grâces de la reine mère Marie de Médicis, il monta alors très vite les échelons et enchaîna les plus hautes fonctions comme celle de Grand Aumonier ou de Ministre des Affaires Étrangères. Néanmoins, le jeune roi méfiant ne lui permet que plusieurs années plus tard de rentrer à son conseil. Ses talents de fin négociateur avaient su le convaincre de ses rares aptitudes pour les affaires du royaume. Malgré cette grande confiance, le roi le hait profondément par jalousie certaine et par ce dégoût de dépendance qu'il a de lui. La démission ou le renvoi d'un tel homme serait un désastre pour le pays. Richelieu en est parfaitement conscient et s'il tente de s'attirer définitivement les faveurs royales en ne froissant pas son maître plus encore, il joue pertinemment de son écrasante personnalité.
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Aliénor Descrières & Hermine de Bassompierre Hermine : Le cardinal n'est autre que son père biologique. C'est lors d'une visite au pape, alors qu'il n'était qu'évêque de Luçon, qu'il a fait la connaissance d'une noble italienne. Lui évêque, bien que n'ayant pas encore fait son ordination, elle mariée. L'union était impossible. Hermine est née dans le secret. Qui plus est, elles étaient deux ... Pour écarter les soupçons qui auraient crée un scandale, il a chargé son grand ami de se charger d'Hermine et de lui trouver une bonne famille. Il s'est occupé de l'adoption d'Aliénor, de son côté. A noter qu'il n'a aucune préférence pour l'une des deux. Il est étrange qu'Hermine qui pourtant son portait craché au niveau du caractère, soit celle qui le haïsse. Il faut dire que Bassompierre, hier allié, s'est chargé de le discréter aux yeux de sa fille. Le cardinal ne sait comment lui annoncer la chose. Alors il lui a écrit, en tant que père, sans signer, lui a expliqué quelques lignes du secret familial, et lui a demandé de l'aider et de faire équipe avec lui même. Celui qu'elle hait ! Non il ne l'utilise pas. Il pense sincèrement que les rapports qu'elle lui fait, pourront les rapprocher sans qu'elle ne sache que c'est à son père qu'elle les donne.
Aliénor : Elle est le portrait craché de sa mère, la féminité en moins ! C'est un véritable bol d'air frais qui est rentré dans le palais cardinal avec l'adolescente. Parfois cette bouffée se transforme en tornade, elle en devient même infernale et cela créait bien évidemment certaines tensions. Ils s'agacent, ils se désespèrent mais ils s'aiment. Curieusement malgré les apparences, c'est avec Aliénor que le courant passe le mieux. Elle ne le hait pas, même après lui avoir avoué contraint et forcé qu'il était son père. Chose dont il était persuadé. Elle est celle qu'il fait suivre le plus, car elle est aussi celle qui l'inquiète toujours le plus et ce depuis son enfance et sa fugue de chez les Descrières. En apprenant d'ailleurs les mauvais traitements qu'ils lui avaient fait subir, il a pris un prétexte quelconque pour les conduire à l’échafaud. Il a retrouvé la trace de sa fille miraculeusement et c'est également lui qui a invité Galilée à le retrouver à Paris avec son assistante. Officiellement, elle est au palais Cardinal pour mettre au point une invention révolutionnaire pour la guerre à venir. Officieusement, il la garde à ses côtés car elle lui est devenue indispensable. Entre tête en l'air et tête sur les épaules, ces deux là n'ont pas fini de se surprendre mutuellement, de se tirer dans les pattes. Cela ne les empêchera pas de rester soudés.
Milady de Winter Elle est au service du Cardinal, l'homme le plus puissant de France, le véritable roi. Elle le sert et l'aide comme elle le fait toujours : par intérêt. Car après tout, il y a tout à gagner auprès d'un homme aussi puissant. A condition bien sûr de ne pas le décevoir, de peur qu'il vous oublie ou vous laisse. Mais Milady est douée, il n'y a aucune raison qu'il l'abandonne.
Gui de Rochefort Il en faut de la confiance, surtout de la part d'un homme comme le cardinal pour qu'il l'offre tout entière à un autre homme que le Père Joseph. Rochefort est son bras droit, Richelieu commande, Rochefort exécute, sans sourciller, sans questionner. Si Rochefort avait pris ses fonctions auprès de lui, ce fut tout d'abord pour se venger de la couronne, à présent s'y mêle une admiration non feinte. Rochefort fera tout pour son " maître ". Enlever, séquestrer, tuer, espionner ... Il reculera que devant peu de choses. Gui est aussi celui qui guette les moindres faux pas des mousquetaires. En bref, il est sur tous les fronts et cette dose d’adrénaline quotidienne lui est devenue nécessaire et presque vitale. Rien ne pourrait le faire changer de destinée et passer dans le camp adverse. Quel déshonneur ! Mourir vaudra toujours mieux que trahir ! Richelieu ne sait que trop bien quel homme loyal, quelle perle, il a à ses côtés, le perdre serait une calamité. Si parfois il élève la voix, il sait le récompenser à la mesure de ses efforts et il ne s'agit pas que d'argent.
Gaston d'Orléans Richelieu ne l'appelle plus que " le frère maudit" . Gaston n'est ni plus ni moins que le nerf de tous les complots qui assaillent jour et nuit le cardinal. Ils sont sans doute autant acharnés l'un que l'autre dès qu'il s'agit de se faire tomber. Rage d'autant plus renforcée chez Gaston, puisque le Cardinal évente toujours ses conspirations, et le fait s'humilier devant le roi son frère. Entre ces deux là, si parfois la diplomatie exige de se prendre dans les bras, les couteaux sont affûtés. Richelieu qui pourtant n'est pas aimé par le roi a dès que cela touche Gaston, un atout maître dans sa poche. Louis XIII détestant tout autant son frère. Cette carte blanche, Richelieu l'utilise merveilleusement bien. L'un est vipère, l'autre félin guettant la moindre erreur de sa proie. Ce jeu en est devenu mortel. Tous les deux risquent leur tête, selon la direction que prendront des évènements. Richelieu plus aisément puisqu'il n'est pas de sang royal, mais un attentat contre un membre de la famille royale, n'est pas à dédaigner. A force de trop tirer sur la corde, celle-ci risque de casser !
François du Tremblay (Père Joseph) Joseph et Richelieu. L’éminence grise et l’éminence rouge. Qui au Louvre et même en Europe n’a jamais entendu parler de ce tandem ? Les deux hommes se sont rencontrés il y a plus de dix ans, alors que Richelieu n’était pas encore cardinal mais évêque de Luçon. Joseph était venu lui demander conseil pour réformer une abbaye, et en à peine une journée s’était déjà formés les prémices de leur amitié.Depuis que Richelieu est devenu cardinal et premier Ministre, Joseph le suit comme son ombre, persuadé qu’en le servant il servira la France et la Providence. Richelieu accorde une totale confiance à son meilleur ami et homme de l’ombre, après tout n’a-t-il pas de nombreuses fois volé à son secours, plaidant sa cause auprès de ses ennemis et jouant les diplomates pour lui à l’étranger ? Sous ses airs de moine inoffensif, Joseph est la meilleure arme du Cardinal, et surtout ne trahira jamais ni l’homme politique ni l’ami, et Richelieu sait qu’il peut compter sur l’un comme sur l’autre et n’hésite pas à se reposer entièrement sur lui, son roc, son appui !
♣ 26 ans ♣ Célibataire ♣ Français ♣ Chevalier de Juaye et secrétaire du chancelier ♣ Robert Pattinson ♣ Enation ♣ LIBRE Affable et courtois, mais peu enclin aux mondanités – Agira toujours aveuglément si le roi le lui ordonne – esprit pourtant faible si le souvenir d’Isabelle refait surface – Jugement rapide sur les gens, il se trompe peu souvent – Sang froid – Main sûre – Discret – Efficace – Sa confiance doit être méritée
Comment un homme de petite noblesse provinciale peut-il devenir une ombre peu scrupuleuse ? L’histoire d’Arnaud se résume à un mot : celui de la trahison. Une déception amère dans ce cœur de jeune homme fier et honnête qu’était alors Arnaud de Mondaye. Normand de naissance, unique fils d'un vieux baron, Arnaud vécu l’enfance paisible de province, au rythme des précepteurs franciscains et des leçons de choses dans les forêts avoisinantes. Âme noble et fidèle, rompu à l’honnêteté de sa condition, il su être un jeune homme courtois, en qui chacun pouvait placer sa confiance. Tête froide et main solide, ses prouesses à l’épée n’égalaient toutefois pas sa finesse de jugement. C’est à 20 ans qu’il croisa le regard d’Isabelle de Lamballe, jeune demoiselle de compagnie de la reine Marie de Médicis. Douce et angélique jeune fille, elle le corrompit pourtant en l’entraînant dans l’intrigue trop audacieuse pour être réalisée ; aveuglé par cet amour simple, Arnaud suivi Isabelle pour soutenir la reine-mère, bientôt trahie par son roi de fils. Mais le tourbillon politique les enveloppa et lorsque la main de Richelieu décida de l’arrestation et de la mort d’Isabelle, le roi sauva toutefois le jeune homme: lorsque l'on a été aussi proche des confidents de la reine mère, on ne peut que détenir certains secrets.
Aujourd'hui placé comme secrétaire du chancelier de France Etienne d'Aligre, Arnaud est au fait de tout ce qui peut transiter au conseil du roi, mais aussi non loin de ce qui se trame dans les ruelles des hôtels parisiens.
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Isabelle de Lamballe Cette âme sœur dont il avait espéré être l’époux est pourtant montée à l’échafaud quelques années auparavant. Mais les rois sont capricieux et leur esprit insondable, aussi, aussi jeune qu’il fut à cette époque, Louis XIII préféra gracier cette tête rebelle et la mettre sur les traces de ceux qui semblent rôder autour de la jeune reine. Cette petite mission, pourtant anodine, pourrait la mettre sur le chemin d’Arnaud, que le souvenir d’Isabelle n’a cessé de hanter.
Benjamin de Lesguières Il faut bien un soutien dans cette bataille familiale! Benjamin...Arnaud...deux personnalités taillées dans le passé et dont le présent tâche de racheter les fautes. Si Arnaud reste mystérieux sur son propre passé et la grâce royale, il n'hésite pas à mettre son emploi au service de son ami, en cherchant le moyen d'éliminer Victoire de Castrie sans avoir recours à la solution ultime. Il essaye d'éloigner Benjamin du crime, mais la tâche se montre parfois ardue, Lesguière se laissant peut diriger.
Philippe de Jussac Pour approcher Victoire de Lesguière et connaître quelques faiblesses sur elle, Arnaud n'a pas hésité à mentir en se faisant passer pour pour la célèbre lame de Paris. Son but? L'amadouer pour mieux la piéger. Victoire n'a encore senti le piège, mais sa future belle-soeur Louise de Nogaret peut représenter un danger pour Arnaud, Jussac étant un ami proche. Quant au garde, il n'a encore eu vent de la supercherie, mais proche du cardinal et fidèle à Rochefort, il pourrait se révéler un ennemi de taille!
Gui de Rochefort Rochefort, ombre du cardinal, n'a pu supporter que ce traître soit sauvé par le roi. Son maître, le cardinal, n'aurait du céder face au caprice royal et faire plier Louis XIII pour cette exécution! Rochefort rend bien cette haine à Arnaud et ne cesse de vouloir le discréditer aux yeux de la cour. Par ses talents d'espion, il peut trouver un bon nombre d'informations sur lui, mais Arnaud ne cède pas et le chantage n'a encore pu se faire: sur Rochefort, Arnaud connaît le passé et ses liens avec la famille de Rohan. Le secrétaire n'a pas hésité à se lancer dans des fouilles administratives pour retrouver un brûlot compromettant. Ce dont il ignore encore, c'est que Rochefort est bien capable d'avoir recours à des solutions...radicales.
♣ 30 ans ♣ Marié, deux enfants ♣ Français ♣Duc de Sérigny, comte de Denanville; conseiller d'état et Grand Ecuyer ♣ J J Feilds ♣ LIBRE Juste - Taciturne - Loyal - Muet sur ses affaires privées - Courtisan - Galant - Diplomate - Opportuniste - Indépendant - Orgueilleux - Attentiste - Spirituel - Homme de parole - Louvoie
La famille de Sérigny peut se vanter de tirer ses lettres de noblesse dans le courage, et ce trait de caractère s’est transmis tout au long des générations. Proche de la couronne, sachant servir le pouvoir en place, ils peuvent paraître comme opportunistes, mais savent surtout tirer les bonnes ficelles. Louis ne déroge pas à la règle et le fait même avec brio. Né avec une cuiller d’argent recouverte d’or, il a grandi dans les jupes royales, son père ayant su profiter des largesses du roi Henri pour obtenir une place de choix. Le titre de duc a été donné à son père par Henri IV peu avant l'assassinat de celui-ci. Il reçu une éducation brillante en Vendée, avant de monter à Paris faire ses preuves, où il s’attira quelques faveurs de la couronne. Mais toujours méfiant de la température si changeante, il préféré rester éloigné des Luynes ou des Vitry. Soutenant toujours le roi, Louis a donc naturellement pris parti pour le jeune Louis XIII lorsque celui-ci a décidé de prendre le pouvoir en faisant chuter les Concini, se retirant au moment opportun. Par sa faculté à ne pas se radicaliser, il est souvent perçu comme un cheval mangeant à tous les râteliers, mais en vérité, sa seule ambition est de servir le roi, et de rester dans les hautes sphères. A l'assassinat des Concini, il est nommé Grand Ecuyer de France, puis en 1624, conseiller d'Etat.
Si les favoris se font et se défont, Louis sait qu’il peut garder sa place bien plus longtemps, s’il joue de malice. Sa fille est la filleule du roi et par son esprit, il sait se faire apprécier de chaque partie. Parfois arbitre, cette situation lui convient parfaitement. Père peu intéressé par ses enfants, il réfléchis néanmoins à leur avenir et à quelles alliances il pourrait prétendre dans le futur lorsqu'il faudra les marier.
♦ Ceux que je connais ♦
- Spoiler:
Isabelle de Lamballe Elle veut l’amener à elle, et tâte le terrain afin de savoir de quel côté il penche. Aux yeux de la belle espionne, il est inconcevable qu’on ne puisse prendre parti! Et Sérigny est bien assez proche des hautes sphères pour être un acteur potentiel de ses manigances. Elle le suit, il se méfie d’elle; il la surveille et elle s’éloigne. Entre les deux, ce petit jeu pourrait durer longtemps jusqu’à ce que la patience de Louis finisse par s’estomper totalement. Mais Isabelle recèle plus d’un tour dans son sac d’espionne!
Diane de Pennautier Dans cette cour aux abois, prête à faire chuter ceux qui se hissent sur la première marche, Diane se retrouve parfois prise entre deux feux, ne sachant quels crocs acérés se cachent sous ses sourires hypocrites. Dans cette forêt dense, Louis a pris la jeune femme sous son aile, devant ce soutien face à certaines piques acerbes lancées contre elle. Amis mais non confidents, elle sait toutefois qu’il est une épaule pour elle et le jeune duc, pour son roi, ne se priverait de ce service.
Guillaume de Montmorency Peu au fait de toute la cour à son arrivée, Guillaume a néanmoins vu en Louis un potentiel allié, plus sûr peut-être que la déroutante Gabrielle de Verneuil. Leurs familles furent autrefois liées et en souvenir du passé, Louis a accepté d’entendre la requête de Guillaume pour sauver son frère de l’échafaud, qui a joué de franchise avec lui. Louis oscille entre deux sentiments, ne souhaitant désobéir au roi, et sachant que l’exécution possible d’un Montmorency pourrait faire rejaillir de nouvelles tensions chez les Grands. Il accepte d’aider Guillaume, mais reste toutefois distant.
Planchet D'Artagnan? Louis en a entendu parler...lorsque l'on est proche du roi, on ne peut qu'en entendre parler! Le jeune homme à intéressé le duc et il sait que sous cette fougue de jeunesse, se cache un esprit bien plus fin qu'il ne le montre et surtout, attaché plus que tout au roi et au cardinal. Un couer de Gascon est si prévisible! Il n'a donc pas hésité à se soucier du jeune cadet en amadouant son valet Planchet. Celui-ci, rusé, devine parfaitement les desseins du duc et sachant qu'il ne fera de tort à son maître, accepte de se rendre utile auprès de Sérigny. Un tandem improbable, mais terriblement efficace!
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