| | ~Serez-vous....voyageurs d'autres contrées? | |
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♕ Je suis Monsieur Alexandre ♕ Témoin de vos aventures♟ Complots : 76 ♟ Arrivée à Paris : 09/10/2011 ♟ Localisation : Au-dessus de toi ♟ Profession : Gardien de vos secrets
| Sujet: ~Serez-vous....voyageurs d'autres contrées? Lun 28 Nov - 13:32 | |
| Les étrangers Espagnols, anglais ou de provinces bien plus reculés, ils sont parfois de ces touristes, amateurs de voyages et d'aventures; mais certains d'entre eux ne voient en la France qu'un échiquier sur lequel déplacer leurs propres pions. Mais pour chacun, la volupté d'une des plus belles cour d'Europe est bien trop enivrante pour chercher à la quitter. Reculer des décisions politiques? Pourquoi pas! ~ Libre ~ Réservé ~ Pris Henry of Holland ~ Tom Hiddleston James of Carlisle ~ James McAvoy Grace of Sedgewick ~ Natalie Dormer Elizabeth of Leicester ~ Keira Knightley Camilla Concini ~ Leighton Meester Eleonora di Medicis ~ Alexandra Daddario Valeria di Santa Fiore ~ Willa Holland Guilio di Santa Fiore ~ Jake Gyllenhaal Frederick de Zélande ~ Alex Pettyfer Raquel de Cabrero ~ Kaya Scodelario
Dernière édition par Monsieur Alexandre le Ven 16 Mar - 13:54, édité 9 fois |
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| Sujet: Re: ~Serez-vous....voyageurs d'autres contrées? Lun 28 Nov - 14:03 | |
| ROYAUME d'ANGLETERRE
♣33 ans ♣ Célibataire ♣Anglais ♣ Duc de Buckingham ♣ Orlando Bloom ♣LIBRE Ambitieux, séducteur, passionné, jaloux, impulsif, égocentrique, fier, pugnace.
D'origine normande, alors rien ne l'y prédestinait, l’ascension de George fut fulgurante. Par sa prestance, son charisme et son intelligence il sut en l'espace de quelques semaines supplanter le favori du roi Jacques Ier : Robert de Somerset. Admiré de toute la cour pour sa beauté et son esprit, il obtint le titre de comte puis de duc et devint l'un des plus grands hommes d'état d'Angleterre par sa fonction de premier ministre. A la mort du roi, Charles Ier lui accorda la même confiance et il put conserver son poste. Poste grâce auquel il s'enrichit sans vergogne quitte à provoquer certaines guerres désastreuses, dont une avec l'Espagne. En somme, il a les dents longues, très longues.
Est-ce cependant l'amour ou la soif de pouvoir qui l'a conduit poussé par l'un de ses amis, à vouloir courtiser sans même la connaître, la reine de France ? Envoyé officiellement en ambassade pour le mariage d'Henriette de France avec son roi, George n'ignore pas qu'il s'est déjà fait de très puissants ennemis : le roi Louis XIII et le cardinal de Richelieu. Les français d'ailleurs le surnomment d'ailleurs déjà : Bouquingan. On jase beaucoup ! Son orgueil dû à ses réussites lui fera-t-il perdre le bon sens ? Oubliera t-il que tôt ou tard, la roue peut tourner en sa défaveur ? Pour l'heure, il s'en moque bien et n'a guère peur. D'ailleurs plus que courtiser une reine, il est bien décidé à mettre son nez partout et à aider la Rochelle protestante, contre la guerre qui semble se préparer !
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Henry of Holland On ne peut trouver amitié plus fidèle que celle qui lie ces deux favoris. Leurs caractères auraient pu les éloigner l'un de l'autre, mais tous deux ont ce goût de la cour, des mondanités qui les a rapproché. Fidèles au roi, à leur pays, Holland profite de la position de son ami pour rester dans le cercle royal dont il a été éloigné, ce que Buckingham ne pourrait lui refuser! Le duc a de son côté profité du statut d'ambassadeur en France de son ami pour mieux approcher la jeune reine dont Holland ne cesse de lui parler.
James Carlisle Si Buckingham a fait entrer Carlisle dans son cercle d'amis intime, ça n'était pas toutefois sans une certaine pitié pour ce garçon sans grande envergure. Pourtant, Carlisle a des atouts dans sa manche, comme sa fidélité parfois aveugle. Il aide Buckingham dans ses relations avec la France et obtient ainsi quelques points de plus auprès de la Couronne. Mais Buckingham sait que l'entourage cherche à mettre des bâtons dans les roues de Carlisle et sans toutefois oser dire les noms - soupçon de lâcheté - il met James en garde contre ceux qui pourraient lui nuire.
Milady de Winter Elle le déteste. Elle le déteste parce qu'il l'a éconduite. Personne ne la repousse elle ! Personne ne la refuse ! Pas sans en payer les conséquences en tout cas. Elle n'attend que le bon moment pour se venger, elle n'attend qu'un mot du cardinal par exemple, un ordre qu'elle exécutera avec plaisir.
Ketty La jeune suivante, ne sait que trop bien à vivre sous le même toît de Milady, que Buckingham est en danger de mort. Les domestiques en savent des choses, et Ketty a en sa possession, une information de taille. Bien sûr, elle ne trahira pas sa maîtresse, mais elle peut néanmoins tenter de le faire repartir en Angleterre, où sa sécurité serait bien plus assurée que sur le sol français. Cependant pour cela, c'est un mariage de taille qu'elle devrait briser. En effet, elle a la preuve que Katherine, la femme de Buckingham conspire en compagnie des irlandais catholiques rebelles. De quoi provoquer une répudiation et d'autres soucis à Buckingham, que celui tant banal de séduire la reine ... Ketty a merveilleusement trouvé le talon d'Achille de l'homme d'Etat, car il est certain que guidé par une ambition mise soudain à rude épreuve, il traverserait la Manche. Il ne lui manque plus qu'à se faire croire par le duc. Pour l'heure, elle envoie des courriers anonymes, sans vraiment rentrer dans les détails. Le duc les jette au feu en haussant les épaules. Ketty ne se laissera pas décourager, que lui importe d'avoir le masque de la parfaite ennemie, si c'est pour sauver un homme de la mort !
♣30 ans ♣Marié ♣Anglais ♣Comte de Holland ♣Tom Hiddleston ♣LIBRE Extraverti; galant; spirituel; peu orgueilleux et se prête aisément au jeu; courtisan; pugnace; ambitieux; peu scrupuleux; puritain anglais et d'ordinaire peu volage; cultivé Frère cadet d’une famille de deux fils, il fut dans un premier temps destiné à la religion: pour y pourvoir, son père, Robert Rich, comte de Warwick, envoya son fils dans l’un de ces écoles austères, puritaines qui sauraient modeler le caractère belliqueux d’Henry. Ce traitement fit du garçon batailleur qu'était Henry un jeune homme à la mine fière, à la volonté de fer, mais aux manières calmes et froide. Pressé aux habitudes austères que lui donnaient ses maîtres, brillants précepteurs mais plus calvinistes que Calvin le fut lui-même, Henry mêlait à la sortie de cette école une facette posée et studieuse et une image plus faussée de lui-même, faite de soirée, de jeu et de mondanités.
Il su mettre à profit ses talents intellectuels et s'engagea rapidement dans l'armée, signant définitivement la mort d'une éventuelle vocation religieuse tant désirée par son père. Son mariage qui suivi brisa toute espérance à venir, ainsi que la facilité du jeune homme à séduire en un sourire les plus grands de la cour, se frayant ainsi un passage aisé dans les recoins de Whitehall. Quelques mois suffirent à ce que son nom retentisse aux oreilles du roi Jacques 1er qui piqué de curiosité, demanda à connaître le jeune homme. Si l’on ne peut parler d’amitié, Henry devint toutefois l’un des favoris du roi qui le fit comte de Holland en 1625 et le dépêcha en France comme ambassadeur en vue du mariage de son fils avec la jeune soeur du roi Louis XIII.
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Marie de Chevreuse La lutte fut rude pour Marie, mais ses charmes eurent raison de la fidélité de l'anglais. Ce fut une passion réciproque qui les lia; une passion soudaine, vive, telle que Marie ne l'avait encore jamais connu et qui brisa les résolutions d'Henry. Les deux favoris se ressemblent bien trop pour ne pas s'entendre et c'est l'intrigue amoureuse qui fit se rejoindre leur deux esprits de courtisans. Aussi intrigants l'un que l'autre, aussi intouchables de par leur position actuelle, aussi riche et puissant à certains niveaux, ils n'hésitent jamais à se concerter, à se confier leurs désirs mutuels. Jamais, de mémoire d'oreiller, l'on ne connu autant de confidences!
George Villiers On ne peut trouver amitié plus fidèle que celle qui lie ces deux favoris. Leurs caractères auraient pu les éloigner l'un de l'autre, mais tous deux ont ce goût de la cour, des mondanités qui les a rapproché. Fidèles au roi, à leur pays, Holland profite de la position de son ami pour rester dans le cercle royal dont il a été éloigné, ce que Buckingham ne pourrait lui refuser! Le duc a de son côté profité du statut d'ambassadeur en France de son ami pour mieux approcher la jeune reine dont Holland ne cesse de lui parler.
James of Carlisle Leur amitié a été forcée par Buckingham, mais sous des dehors polis et respectueux, ils s'apprécient peu. Mais sans se le dire ouvertement pour ne pas froisser Buckingham, trop attaché à ses deux amis. Holland déteste même cordialement Carlisle, caillou dans sa chaussure. Carlisle est bien trop faible pour tenir tête aux acidités cyniques de Holland et pense même qu'il manipule Marie de Chevreuse dans ses desseins envers la reine! Il n'a aucune idée des idées de la duchesse pour lui nuire. Holland connaît la naïveté de Carlisle et n'hésite pas à s'en servir.
Valeria di San Fiore La jeune femme a su, par sa douceur et son éducation, se rapprocher du comte. Tous deux ont pris goût à ces échanges littéraires ou artistiques et viennent parfois à se confier quelques mots. Mais si Holland voit en elle une de ces jeunes femmes qui ne cherchent qu'à s'éloigner du joug d'un époux, Valeria a bien d'autres desseins, bien plus intéressés. Holland, pour la jeune femme, est peut-être la personne qui pourrait rallier l'Angleterre à sa cause et sans vouloir lui mentir sur ses intentions, elle n'est toujours pas parvenue à lui parler de sa situation.
♣25 ans ♣Célibataire ♣Anglais ♣Comte de Carlisle ♣James McAvoy (c)Golden Gries ♣LIBRE Sûr de lui; maladroit; naïf; peu cultivé; sportif; excellent bretteur et cavalier; accorde sa confiance trop facilement; ambitieux Si James Hay, comte de Carlisle, n’a jamais eu à se soucier de son confort financier, il s’est toutefois toujours soucié d’être à la hauteur des espérances paternelles. Unique fils, troisième enfant d’une fratrie comportant cinq soeurs, James a toujours été étouffé par cette omniprésence féminine et très vite, il eu la volonté de s’échapper de ce carcan de femmes. Enfant têtu, il délaissa les études pour se consacrer aux occupations masculines de son temps: pas de libertinage, mais le jeu, les duels, l’équitation lui permirent de s’accomplir. Extérieurement, il est un parfait gentilhomme, mais son éducation intellectuelle fut si délaissée que l’on se moque gentiment de ses erreurs. Mais son sens de l’humour et de l’autodérision ont toujours été d’un grand secours à James qui n’a jamais vu son orgueil blessé par ces piques lancées contre lui. Esprit faible et doucement naïf, tête brûlée, n’écoutant pas les préceptes de son père, James souhaite toutefois sortir de l’ombre de celui-ci. Ce fut lorsqu’il rencontra le duc de Buckingham que son chemin se traça: celui-ci semblait enfin le voir comme un homme de confiance, doué et utile, et non plus comme un simple courtisan à l’esprit peu éclairé. James vit immédiatement en Buckingham la personne qui saurait le promouvoir auprès des plus grands, sans avoir à paraître aux côtés de son père. Lorsque Buckingham osera le mot de complot, James croira enfin être bientôt l’élément perturbateur de l’Histoire et s’octroyer sa propre gloire.
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Victoire de Castries C'est l'altruisme de Victoire qui l'a poussé à parler au jeune duc lors de ce bal qui a fêté l'arrivée de la délégation anglaise. Ils partagent la même culture, et petit à petit, l'un et l'autre se livre, échangeant certains secrets qu'ils pensent soigneusement conservé par l'autre. Mais les intérêts révèlent souvent les facettes les plus sombres.
Georges Villiers Si Buckingham a fait entrer Carlisle dans son cercle d'amis intime, ça n'était pas toutefois sans une certaine pitié pour ce garçon sans grande envergure. Pourtant, Carlisle a des atouts dans sa manche, comme sa fidélité parfois aveugle. Il aide Buckingham dans ses relations avec la France et obtient ainsi quelques points de plus auprès de la Couronne. Mais Buckingham sait que l'entourage cherche à mettre des bâtons dans les roues de Carlisle et sans toutefois oser dire les noms - soupçon de lâcheté - il met James en garde contre ceux qui pourraient lui nuire.
Henry of Holland Leur amitié a été forcée par Buckingham, mais sous des dehors polis et respectueux, ils s'apprécient peu. Mais sans se le dire ouvertement pour ne pas froisser Buckingham, trop attaché à ses deux amis. Holland déteste même cordialement Carlisle, caillou dans sa chaussure. Carlisle est bien trop faible pour tenir tête aux acidités cyniques de Holland et pense même qu'il manipule Marie de Chevreuse dans ses desseins envers la reine! Il n'a aucune idée des idées de la duchesse pour lui nuire. Holland connaît la naïveté de Carlisle et n'hésite pas à s'en servir.
Ketty Par sa famille, James connaît de longue date l'affaire de la camériste de Lady Cecil, accusée d'avoir eu une fille illégitime avec Lord Cecil, puis mise à la porte. La fille de cette pauvre femme est depuis entrée au service de Lord de Winter, et c'est par son entremise que James a pu rencontrer la jeune femme en Angleterre. Pour lui, c'est certain, Ketty est la fille de Lord Cecil! A présent dans les mains de cette arrogante de Milady, il s'est alors mis un point d'honneur à la protéger, quitte à parfois effrayer la jeune femme en l'abordant dans la rue pour se proposer de la ramener s'il se fait tard! Ketty s'est faite à cet étrange ange gardien, sans toutefois connaître ses réelles motivations, surtout lorsqu'un soir l'homme a prononcé d'étranges paroles: "Je vous aiderai à recouvrer vos droits!". Si la jeune femme commence à croire qu'il la voit comme la fille de Lord Cecil, elle en vient elle-même à douter de ses origines.
♣ 19 ans mais en parait 35. ♣Célibataire ♣ Écossaise devenue anglaise ♣ Comtesse of Cawdor ♣ Natalie Dormer ♣ PRISE Dépressive, cynique, fait preuve d'humour noir, solitaire, très lunatique et déroutante, aigrie, assez égoïste, nationaliste. Quelle dynastie puissante que celle de Grace ! Mais le cadre d'or ne fait pas le plus beau des tableaux, car cette dynastie semble frappée par une malédiction ancestrale. Tout Sedgewick connait cette légende familiale où leur aïeul d'une cruauté sans nom, fut maudit lorsqu'il était aux Croisades ! Et comment ne pas y croire lorsque depuis des siècles, la terreur règne dans leur manoir ! La terreur de leur maladie héréditaire. Que ce soit hommes ou femmes, tous subissent un vieillissement accéléré, et ce malgré leur renoncement aux mariages consanguins. Mal terrible qui les oblige à se retirer très tôt de la cour, ce qui ne va pas sans soulever des murmures. Les Sedgewick sont devenus LE grand mystère de l’Écosse.
C'est ce fardeau certain qui les oblige perpétuellement à mentir, que tente de fuir Grace ! Son frère de très peu son aîné ayant déjà l'âge de passer pour son père s'étant retiré, elle est restée seule à la cour, en tant que dame de compagnie chère au cœur de la princesse Elisabeth, fille du Roi Jacques qu'elle a accompagné en Angleterre ! Parfaitement bilingue sa grand mère ayant servi Mary Stuart, reine de France puis d’Écosse, Grace est catholique et ne supporte pas de vivre en Angleterre, surtout depuis le départ de son amie pour Prague en 1619. Sachant que le seul qui puisse la sauver de son mal se trouve d'ailleurs en France, elle n'a pas hésité à embarquer clandestinement pour s'y rendre, lorsque le roi envoya son ambassade en vue du projet de mariage de son fils Charles. Débarquée à la Rochelle elle connait depuis, bon nombre des points stratégiques qui pourraient être essentiels dans la guerre qui se prépare ! Autant dire qu'elle n'hésitera pas à vendre chèrement ces informations, il lui faut de l'argent pour ses soins après tout ... Elle vient donc de s'installer à Paris où comme partout ailleurs elle oscille entre espoir et désespoir, entre jouissance de la vie et l'envie d'en finir !
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Alexandre Ravaillac Grace a des informations précieuses qu'elle compte révéler au plus offrant. Mais autant les vendre aux français plutôt qu'aux espagnols. C'est dans ce but précis, que la comtesse s'est présentée au Palais Cardinal, Richelieu qui envisage la guerre serait avide de connaître les plans de ses ennemis. Bien entendu on arrive pas à obtenir audience de la sorte auprès de Son Éminence. C'est cette difficulté causée par le protocole, qui a fait rencontré Alexandre et Grace. Rochefort étant à ses affaires, il s'est présenté à elle comme son bras droit, l'homme de confiance. Puisqu'elle voulait de l'argent et comme après la mort de son épouse, sa situation d'homme riche est bien réelle, il lui a fait tomber de nombreux écus dans la paume de la main. Les informations c'est donc lui qui les a. Bien sûr il ne les a pas données au cardinal. Il les conserve au cas où ... Si un jour sa véritable identité est découverte il pourra marchander sa liberté et sa vie contre elles. Grace de son côté, ne comprend pas l'inertie du cardinal après de tels aveux. Elle s'inquiète. Les hommes qu'elle a dénoncés devraient être mis derrière les barreaux depuis longtemps. L'angoisse la gagne car s'ils devinent son implication, elle est perdue. Sa décision est prise, revoir "le second" du cardinal pour savoir ce qu'il se passe.
Angel Morés de Allueva Un gitan à Paris? Ces gens-là connaissent bien souvent toutes ces choses peu catholiques, mais qui savent guérir. Grace n'a pas hésité à demander l'aide d'Angel, lui confiant ainsi son secret. Peut-être est-ce là une sorte de rédemption pour Angel car il n'a osé cette fois duper la jeune femme. Il a accepté de mettre son véritable talent à son service et la fourni en onguents et soins, si celle-ci accepte de taire tout ce qu'elle pourrait apprendre sur Angel. Comment croire en la parole d'une femme? En la menaçant, tout simplement! Mais le peu de scrupules qu'il reste à Angel l'empêche de faire soufrir l'anglaise.
Elizabeth de Leicester Elizabeth l’anglaise et Grace l’écossaise ne sont pas faites pour s’entendre et le présent le confirme. Mais la facette rêveuse de Lizzie peut la perdre, car face à sa compatriote, elle ne peut imaginer une guerre sourde et apprécie la compagnie de l’écossaise. Grace profite de cette douce naïveté pour se moquer – à sa manière – de l’anglaise. Elle ne cesse de jouer avec Lizzie, la poussant à la maladresse pour s’amuser de ses chutes. Mais si Grace apprend ce qui lie Elizabeth à Arnaud de Mondaye, la donne pourrait changer.
Raquel de Cabrero C'est un portrait qui est la cause de ce malentendu. Un portrait en miniature, c'est bien la seule chose que la jeune espagnole conserve de sa mère ... Mère très jeune lorsqu'elle la mit au monde. Il n'est pas étonnant, que frappée par la ressemblance entre Grace et le portrait, Raquel l'ait suivie, pendant des heures après l'avoir croisée à la sortie du Palais cardinal. Une soeur aînée ? Sa mère peut-être même vu son âge un peu avancé ? Grace ne serait jamais doutée que cette filature qui la rendait plutôt nerveuse, soit porteuse de miracles. C'est au bord de la Seine qu'une de ses crises de tremblements la saisit. Elle chuta et faillit bien se noyer. Raquel l'en tira ... Grace voulut remercier mais n'eut pas le temps de prononcer un mot, que Raquel la suppliait déjà : " Dites moi que vous êtes ma mère " Alors Grace émue a répondu oui ... Depuis, parfaitement bilingue et sans accent, le scénario que Grace a monté tient la route, même si elle se sent encore bien maudite, puisqu'elle est plus jeune que cette fausse fille. Leur relation touchante serait par ailleurs mise à mal, si Raquel découvrait qu'elle n'est pas sa mère mais pire encore une sujet britannique, les pires ennemis de l'Espagne !
♦ Elizabeth of Leicester♦ ♣ 20 Ans ♣ Veuve ♣ Anglaise ♣ Comtesse ♣ Keira Knightley ♣ LIBRE Douce, tendre, placide, ambitieuse, naïve, joyeuse, optimiste, généreuse, soumise, influençable, réfléchie, chanceuse, charmeuse, n'a aucune notion de l'argent, rêveuse, romantique. Lizzie est née noble dans un beau château en Angleterre. Très vite, elle a découvert que la vie lui avait accordé toutes les vertus possibles sur un plateau d'argent, et qu'elle n'avait qu'à frapper dans ses mains pour être servie. Elle était riche, belle, elle avait le droit à la meilleure éducation possible, et il ne lui restait qu'à remercier le ciel pour ces merveilleux présents, et vivre la vie qu'on lui traçait d'avance. L'enfant qu'elle fut laissa à l'adulte un caractère très étrange, la partageant entre son ambition, ses rêves dorés, et cette gratitude envers tout ce qui l'entourait qui faisait d'elle un petit être docile. Elle accepta le mari qu'on lui donna à seize ans dans ce même état d'esprit, déçue que ce ne soit ni le prince dont elle avait rêvé, ni le vaurien qui lui aurait fait vivre une grande aventure, mais avec un sourire sincère sur les lèvres, heureuse d'être mariée à un homme riche, avec de l'esprit, et qui malgré leur grande différence d'âge n'était pas dépourvu de charme. Elle le vit tomber malade et mourir trois ans après de la même façon, triste de le perdre, joyeuse d'être enfin libre. Elle profita de son veuvage pour réfléchir à la vie qu'elle souhaitait vraiment mener... Et pour la première fois de sa vie, ce furent ses rêves et son ambition qui prirent le dessus sur sa sagesse et sa soumission. Elle quitta l'Angleterre pour Paris, prête à vivre ce qu'elle avait toujours rêvé.
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Blanche Gauthier Blanche est sa suivante, sa dame de compagnie, sa domestique, sa sœur de lait, sa confidente, et sa meilleure amie. Qu'importe qu'elles ne viennent pas du même monde et que leurs caractères les opposent ; les deux jeunes femmes s'adorent. Mais malgré son esprit vif, Lizzie est aveuglée par sa tendresse pour la jeune femme et ne voit pas, dissimulé son son amour, l’intérêt de la française.
Arnaud de Mondaye Une jeune veuve pourrait s'ennuyer à Paris, mais c'était sans compter sur l'effet que fit le secrétaire du Chancelier sur la jeune femme. Mais l'ambition a eu bien plus d'arguments que le coeur, car ce que Lizzie vit en Arnaud, ce fut sa position. Ce qu'Arnaud vit en Lizzie ne fut que son visage, ses yeux. Elle lui ment sur ses intentions, lui ne se sert d'elle que pour oublier définitivement Isabelle: jusqu'où s'emmèneront ces deux mants si peu intéressés?
Grace of Sedgewick Elizabeth l’anglaise et Grace l’écossaise ne sont pas faites pour s’entendre et le présent le confirme. Mais la facette rêveuse de Lizzie peut la perdre, car face à sa compatriote, elle ne peut imaginer une guerre sourde et apprécie la compagnie de l’écossaise. Grace profite de cette douce naïveté pour se moquer – à sa manière – de l’anglaise. Elle ne cesse de jouer avec Lizzie, la poussant à la maladresse pour s’amuser de ses chutes. Mais si Grace apprend ce qui lie Elizabeth à Arnaud de Mondaye, la donne pourrait changer.
Armand de Tréville Les attaques sur de riches personnes, ça ne manque pas. Elizabeth en a fait la rude expérience. Après un bal, elle rentrait jusqu'à son domicile, lorsque son cocher fut malmené et des bandits prirent les rênes. Conduite avec sa domestique, Blanche, jusqu'à un endroit sordide, elle a subi le vol de tous ses bijoux, de son or et aurait clairement subi le viol si Blanche n'était intervenue en mordant jusqu'au sang celui qui la baillonait de sa main. Le cri retentit si fort dans l'impasse que les bandits s'enfuirent. Depuis la noble anglaise se remet bien mal de la terreur de cette soirée. Grâce à ses relations, elle a pu obtenir la protection du capitaine des mousquetaires lui même. Une sorte de garde du corps attitré. Si Tréville trouve sa compagnie agréable, là n'est pas la question, il soupire parfois ... Car cette lubie le tient parfois éloigné de ses chers mousquetaires. Il n'est pas un homme de salon et faire le piquet, ce n'est pas dans ses attributions.
Dernière édition par Monsieur Alexandre le Jeu 29 Mar - 14:56, édité 18 fois |
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| Sujet: Re: ~Serez-vous....voyageurs d'autres contrées? Ven 13 Jan - 9:58 | |
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Dernière édition par Monsieur Alexandre le Ven 16 Mar - 9:48, édité 9 fois |
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| Sujet: Re: ~Serez-vous....voyageurs d'autres contrées? Mar 24 Jan - 16:55 | |
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