| | ~Serez-vous...grands atouts du royaume? | |
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♕ Je suis Monsieur Alexandre ♕ Témoin de vos aventures♟ Complots : 76 ♟ Arrivée à Paris : 09/10/2011 ♟ Localisation : Au-dessus de toi ♟ Profession : Gardien de vos secrets
| Sujet: ~Serez-vous...grands atouts du royaume? Lun 28 Nov - 13:33 | |
| Les Grands du royaume La sémillante noblesse est aussi un panier de crabes bien fameux où se mêlent les plus grands esprits et les plus lourdes intrigues. Baissez les yeux lorsque vous les croisez, car ils ne vous considèrent pas digne de croiser votre regard. Les plus grandes familles françaises, les plus hauts princes, les favoris et les élites se retrouvent dans les ruelles des femmes d’esprits, mais celui-ci est bien plus sombre que leurs tenues chamarrées. Ne tentez pas de les plier à votre volonté : ils ont pour eux la grandeur de leur nom et de leur sang : chaque privilège doit leur être du et leur puissance ne peut de plier à d’autre volonté que la leur. Ils ne craignent pas le courroux royal : leur place est bien trop importante sur l’échiquier politique. ~ Libre ~ Réservé ~ Pris Diane de Pennautier ~ Natalia Vodianova Louise de Nogaret ~ Elizabeth Olsen Hermine de Bassompierre ~ Rooney Mara Victoire de Castries ~ Phoebe Tonkin Gaspard de Castries~ Chace Crawford Guillaume de Montmorency ~ Matt Bomer Benjamin de Lesguière ~ Ian Somerhalder Arthur de Bergerac ~ Jensen Akles
Dernière édition par Monsieur Alexandre le Ven 16 Mar - 14:07, édité 6 fois |
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| Sujet: Re: ~Serez-vous...grands atouts du royaume? Lun 28 Nov - 14:03 | |
| ♣ 25 ans ♣ Veuve ♣ Française ♣ Baronne de Mireval ♣ Natalia Vodianova ♣ LIBRE Douce mais sait se montrer ferme, philanthrope, intelligente, cultivée, mécène, persévérante, a une passion pour les armes et l'équitation. On pourrait dire sans exagérer que Diane est une véritable miraculée ! Elle n'était encore qu'au berceau lorsque sa mère, sa tante et son frère aîné moururent de la peste qui sévissait dans la région. Elle ne dut son salut qu'à son père qui l'avait conduite à des lieues du château familial comme son épouse l'en priait aux premiers symptômes de la maladie. A Mireval depuis cette épidémie foudroyante, une renommée s'est bâtie autour de la demoiselle, et à voir son visage qui d'années en années devenait de plus en plus angélique, on ne la nomme plus désormais que la Sainte de Mireval. Sa générosité y est pour beaucoup, il faut bien l'avouer, Diane a toujours eu le coeur sur la main concernant les pauvres. Toute la région la regretta donc, lorsque Diane à l'âge de 16 ans quitta son château pour épouser le seigneur de Pennautier, fils du Trésorier du Languedoc. Ce dernier, homme traumatisé par la guerre, se montrait toujours très violent envers tous et Diane ne fit pas exception. Il se suicida cinq ans plus tard et on dut maquiller la scène en mort naturelle pour obtenir une sépulture chrétienne et éviter le scandale à la famille.
D'un tempérament agréable, et puisque le père de Diane était à présent mort, son beau père lui permit de demeurer à Pennautier où il entreprit de construire un château si beau qu'il éveilla la curiosité du roi lui même. Louis XIII, en route pour Perpignan fit une halte au château en 1622. Cette rencontre marqua un tournant décisif dans l'existence de Diane. Le roi ayant décidé d'une balade à cheval, sport de prédilection avec l'escrime de la jeune veuve, elle suivit donc son escorte au trot lorsque tout à coup la monture du monarque s'emballa. Elle lança le sien à ses trousses et bientôt le reste de la troupe fut malheureusement semée. Quand l'animal et le royal cavalier tombèrent à l'eau, elle n'hésita pas à plonger pour secourir sa majesté. Son hardiesse lui a valu la reconnaissance éternelle du roi qui ne sachant guère nager se serait immanquablement noyé. Il offrit son mobilier en remerciement au château et invita Diane à rejoindre la cour. Elle y règne depuis en favorite absolue bien que leur relation soit exclusivement platonique ... le roi préférant la compagnie des hommes. La belle malgré son tempérament doux, a dû néanmoins sortir ses griffes, sa position commence à faire des jaloux !
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Camilla Concini Cette blonde détestable lui a fait rater son coup. Son attentat. L'élaboration d'un plan qui a duré des mois et lui avait coûté beaucoup. Camilla n'est pas prête d'oublier cet échec cuisant et cette humiliation. Elle était réellement à deux doigts d'avoir commis le crime parfait et sur un roi qui plus est. Ca, elle n'est pas prête de lui pardonner ! Aussi, se moque t-elle ouvertement de cette oie blanche, et on ne nomme plus Diane que la " poule au châpon ". Pire que la ridiculiser, tous les coups bas sont bons. Pennautier ne peut que deviner d'où ils viennent. Une guerre ouverte baignée d'incompréhension d'une part et de haine non feinte d'autre part vient d'être déclarée. Elle s'annonce terrible !
François du Tremblay (Père Joseph) Ces deux là se sont connus grâce à leur renommée. Il est connu pour être le moine diplomate de bien des cours européennes, elle est connue pour être la Sainte de sa région. C'est un immense projet de charité dont ils étaient tous les deux l'image " vendeuse " qu'ils ont accompli peu avant le mariage de Diane. Ils ne se sont jamais perdus de vue. Pour lui, elle est celle qu'il admire, une sorte de Vierge Marie mais aussi celle qui la déstabilise par ses goûts plus masculins. Pour elle, et malheureusement pour elle d'ailleurs, il a tout pour lui plaire ... Étant diplomate, il n'a jamais eu à son encontre une parole misogyne, lui qui supporte peu de femmes pourtant ! La personnalité hors du commun de Joseph lui a gagné l'âme. Fort heureusement, Diane est parvenue à se raisonner et étouffe ses sentiments naissants. Elle se contentait depuis des années des lettres qu'ils échangeaient. Lui l'admirait davantage car jamais elle ne se plaignait de son mari pourtant violent. Mais depuis qu'ils se sont retrouvés, Joseph est plus distant et de plus en plus troublé. La raison ? " Favorite " du roi ? Voilà un titre qui convient mal à son image de sainte. Il lui a proposé de rentrer dans les ordres capucins. Elle a refusé, car elle sait qu'elle le verrait tous les jours et souffrirait donc. Elle ne lui a donné aucune explication. Elle eut juste ces mots : " Je craindrais de ne plus aimer autant Notre Seigneur comme je le devrais, si je rejoignais votre ordre. " Lui n'a pas vraiment compris le sens de cette phrase.
Louis de Sérigny Dans cette cour aux abois, prête à faire chuter ceux qui se hissent sur la première marche, Diane se retrouve parfois prise entre deux feux, ne sachant quels crocs acérés se cachent sous ses sourires hypocrites. Dans cette forêt dense, Louis a pris la jeune femme sous son aile, devant ce soutien face à certaines piques acerbes lancées contre elle. Amis mais non confidents, elle sait toutefois qu’il est une épaule pour elle et le jeune duc, pour son roi, ne se priverait de ce service.
Frédérick de Zélande Tout en Diane lui rappelle la Bavière, sa blondeur, la teinte de ses yeux. Il ne peut pas croire un instant qu'elle soit française, sa beauté est si digne de la sienne ! Son orgueil a trouvé en elle, son égale ! Quel dommage d'être liée à un homme qui a un fort penchant pour son propre sexe ... Fascination, voilà ce qu'il ressent pour elle ! Au bout de quelques semaines, sa résolution est prise. Il l'approche tout d'abord officiellement afin de lui proposer une union avec un cousin maternel de Lorraine. Quelle favorite ne se marie pas après tout ? Mais cette proposition dissimule un tout autre projet. L'enlèvement ni plus ni moins de la jeune femme et sa séquestration sur ses terres lorraines, pour en faire sa maîtresse. Sans se douter de ses intentions, Diane justement bien française n'aime guère les " autrichiens - espagnols ", elle vient de refuser cette fausse proposition. Frédérick a donc décidé d'agir autrement : le chantage ! On dit la jeune femme très attachée à son beau père, et c'est lui qu'il enlève en fin de compte comme moyen de pression. Il ne tardera pas à le lui apprendre. Frédérick joue avec le feu, vouloir devenir l'amant d'une favorite royale, ce n'est pas rien. Son inconséquence le perdra t-il ? Diane cédera t-elle ? Affaire à suivre.
♣21 ans ♣Célibataire ♣Française ♣Baronne de Nogaret ♣Elizabeth Olsen ♣LIBRE Curieuse - Capricieuse - Dissipée - D'apparence calme - Fourbe - Se sert de son minois pour attendrir - Orgueilleuse - Sait qu'elle a peu de pouvoir - Pugnace - Sûre d'elle La fille du duc d’Epernon, la jeune Louise a très tôt baignée dans le monde politique, même si son éducation si parfaite l’a éloignée du théâtre diplomatique. Elevée à Paris par des gouvernantes triées sur le volet, couvée et protégée, la petite capricieuse s’est muée en une jeune femme au caractère bien trempé, caché sous des airs doucereux. Jeune fille accomplie, elle apparaît comme la douceur incarnée mais en réalité, elle ne cesse de fourrer son nez là où il ne devrait être. Curieuse à l’extrême, se nourrissant des ragots de la cour et les ébruitant en les grossissant, elle prend un malin plaisir à détruire les réputations des ennemis naturels de son père et de ses proches. Elle se protège derrière son nom, son éducation et sa famille et ne craint jusque-là aucun tort.
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Gaspard de Castries Promise dès sa naissance au jeune homme, elle ne l’apprécie guère, mais n’ose le dire et clame haut et fort qu’elle attend plus que tout leur union à venir. Cet empressement ne répond qu’à un seul désir de Louise : celui de porter son nom afin de détenir ce qui semble être un bien lourd secret de famille. Pour le découvrir, elle serait capable du pire. Gabrielle de Verneuil Louise, si proche de son frère aîné, ne peut supporter la jeune femme, qu'elle juge insipide et opportuniste. Gabrielle se cache derrière son titre de fille d'Henri IV et Louise, ne pouvant contrer les convenances, cherche des moyens plus sournois de mettre à terre la jeune femme. En soutien de son frère, elle n'hésite pas à lui rapporter les faits et gestes de sa belle-soeur, afin qu'il puisse sévir contre Gabrielle si celle-ci se montre trop frivole au goût du duc. Philippe de Jussac Philippe et Louise n'auraient pas du se rencontrer...du moins pour leurs ennemis! Il aida la jeune femme en défaut alors qu'elle rentrait chez elle et s'il n'y a entre eux pas une amitié franche, ils se font néanmoins confiance pour les affaires sont ils sont les acteurs. Elle est son informatrice de charme à la cour et il est son bras si besoin est.
Caroline Deyraud Les deux jeunes femmes ont de nombreux points en commun: l'attrait de la cour, des paillettes, des frivolités...elles ne pouvaient que s'entendre et ces deux jeunes têtes passent de trop nombreux moments ensemble. Mais Caroline, heureuse d'avoir trouvé une si solide amie, ne peut avouer à Louise ses véritables origines, par peur de la voir se détourner d'elle.
♦ Hermine de Bassompierre ♦ ♣ 18 ans ♣ Fiancée ♣ Française ♣ Baronne de Radeval ♣ Rooney Mara ♣ LIBRE Très réfléchie, froide en apparence, quelque peu rebelle, très famille, attachée à ses habitudes, fouineuse, a quelques œillères dues à son éducation. Le maréchal de Bassompierre n'avait guère d'enfants, peut-être un, naturel et qui restait dans les jupons de sa mère. Privé par Henri IV même d'une épouse, il tenta de combler cette solitude par l'adoption. Il s'adressa tout naturellement à des ordres religieux, il ne réclamait qu'une chose, que l'enfant soit noble. C'est le père Joseph qui lui mit dans les bras, une petite fille âgée d'environ un an. Il la baptisa aussitôt Hermine, prénom en vogue dans les pays germanisés dont il est issu.
L'enfant grandit entre deux modèles de femmes au caractère littéralement opposés. Louise Marguerite de Lorraine, la trop dévote, épouse morganatique de son père, et la sulfureuse Marie d'Entragues, maîtresse et mère de son demi frère. La vertu et la liberté des moeurs. De quoi ne pas savoir sur quel pied danser. Hermine a vécu dans un carcan doré mais depuis peu, elle veut en connaître davantage sur ses origines, que l'on lui tait bien entendu. Il n'est pas temps de remuer les souvenirs, mais de se marier. On lui a déjà choisi un époux. Heureusement, qu'elle a mis quelques épices dans sa vie, grâce au cardinal de Richelieu, bien qu'elle le déteste ouvertement. Espionner car " son père biologique " le lui a demandé. Mais elle court, elle vole. Surtout puisqu'il lui a promis de la rencontrer.
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Armand du Plessis Le cardinal n'est autre que son père biologique. C'est lors d'une visite au pape, alors qu'il n'était qu'évêque de Luçon, qu'il a fait la connaissance d'une noble italienne. Lui évêque, bien que n'ayant pas encore fait son ordination, elle mariée. L'union était impossible. Hermine est née dans le secret. Qui plus est, elles étaient deux ... Pour écarter les soupçons qui auraient crée un scandale, il a chargé son grand ami de se charger d'Hermine et de lui trouver une bonne famille. Il s'est occupé de l'adoption d'Aliénor, de son côté. A noter qu'il n'a aucune préférence pour l'une des deux. Il est étrange qu'Hermine qui est pourtant son portait craché au niveau du caractère, soit celle qui le haïsse. Il faut dire que Bassompierre, hier allié, s'est chargé de le discréter aux yeux de sa fille. Le cardinal ne sait comment lui annoncer la chose. Alors il lui écrit très souvent, en tant que père, mais sans signer,il lui a expliqué quelques lignes du secret familial, et lui a demandé d'aider Richelieu, oui lui même. Celui qu'elle hait et qu'elle ne croirait jamais être son père ! Non il ne l'utilise pas. Il pense sincèrement que les rapports qu'elle lui fait, pourront les rapprocher sans qu'elle ne sache que c'est à son père qu'elle les donne.
Aliénor Descrières Elles ne savent absolument pas ni l'une ni l'autre, qu'elles étaient deux à la naissance. Si pour Hermine, le mystère autour de sa naissance reste entier, quant à ses parents, quant à son adoption, Aliénor qui pourtant a une longueur d'avance dans ce domaine, ignore tout d'Hermine. Richelieu garde cela secret pour éviter qu'elles ne se croisent à la cour, et certains quiproquos qui ne tarderaient pas à avoir lieu. Mais la primordiale raison reste bel et bien que s'il met Aliénor au courant, Hermine peut tout connaître l'instant d'après sur ses origines et donc sur lui même. Chose qui est devenue sa hantise. Il n'empêchera pourtant pas que les deux adolescentes qui ressentent depuis leur enfance, une sorte de manque inexplicable de se rencontrer par le plus grand des hasards, ni même qu'elles gardent contact ... Tant pis, mais Aliénor devra mentir à sa soeur sur leur père, oui elle le devra ! Car tout rapprochera ces deux là qui rattraperont le temps perdu, sauf peut-être le sentiment très différent qu'elles portent à leur père biologique.
François du Tremblay Richelieu la lui a mise dans les bras alors qu'elle n'avait que quelques semaines. Il la lui a confiée mais un capucin peut-il rester avec un nouveau né sans s'attirer le scandale et les regardes noirs de ses ouailles ? Richelieu et Joseph n'ont pas eu vraiment le choix, il fallait qu'on fasse adopter cette petite, tout comme Aliénor sa soeur. Pour éviter qu'elles se rencontrent tôt ou tard, Hermine a été placée chez une famille de la noblesse : Le maréchal de Bassompierre. Joseph a dû être un protecteur lointain durant les premières années d'Hermine. C'est lorsqu'une Guise s'est mariée secrètement avec Bassompierre que tout a changé. Joseph est devenu le confesseur attitré de la dame et pouvait donc être très souvent aux côtés d'Hermine. Officiellement pour l'adolescente, c'est à ce moment précis, qu'il est rentré dans sa vie et pas avant. Si Hermine sait qu'il est le confident et l'ami de Richelieu, elle ne l'en apprécie pas moins ! Joseph quant à lui agit avec Hermine comme avec aucune autre femme, c'est à dire qu'il peut être en sa présence sans faire une jaunisse. Elle lui tient à coeur. Seul bémol dans leur relation : Richelieu justement. Hermine n'entend pas vraiment quand Joseph tente d'apaiser sa haine à son encontre. A choisir entre deux pères, c'est Joseph qu'elle choisirait. Elle le lui a dit, que Richelieu ne l'apprenne jamais ! Joseph s'en sent particulièrement mal à l'aise !
Frederick de Zélande Comment refuser une telle alliance? François de Bassompierre, proche de la couronne, ne pouvait reculer face à cette proposition et offre la main de sa fille Hermine au jeune Frederick. On ne peut trouver fiancés plus mal assortis mais si Frederick chercher à vouloir s'attirer les faveurs de la jeune femme, Hermine cherche à faire rompre ces fiançailles.
♣25 ans ♣Célibataire ♣Française ♣Comtesse de Castries et comtesse de Lesguières ♣Phoebe Tonkin ♣LIBRE Sagace, Maligne, Débrouillarde, Confiante, A peur de l'avenir, Déteste se sentir entravée, A la phobie des grandes étendues d'eau (à vous d'en définir la raison!) De son véritable nom Victoire de Lesguières, elle perd ses parents alors qu’elle n’est âgée que de quelques semaines. Recueillie par l’ami le plus fidèle de Jacques de Lesguières, Henri de Castries, Victoire, du même âge que le fils de Castries, est aussitôt placée là comme sa sœur jumelle. Pour quelles raisons cacher ainsi l’enfant ? Pour celles qui ont coûté la vie aux Lesguières : l’héritage réclamé par le frère de Jacques de Lesguières. Elle ne pourra le toucher que lorsque la vérité sera révélée et que le danger sera écartée ; mais Henri de Castries ne semble pas encore enclin à lever le voile. Ainsi cachée, Victoire grandira au sein d’une famille unie, qui aura pour elle toutes les plus douces attentions. Proche de son frère Gaspard, elle ne pourra supporter son départ pour le Collège de Clermont, alors qu’elle-même rejoindra une couvent où son éducation fut à la hauteur de celle attendue par les Castries. Sortie de ce couvent à 18 ans, on parle d’elle pour une éventuelle union, mais c’est vers les premières ruelles qu’elle se dirigera, aux côtés de ses chères amies de couvent.
Mais le passé resurgit toujours et très vite, elle se sent suivie, épiée et guettée par une ombre mystérieuse. Victoire, sagace et maligne, n’ose montrer qu’elle-même a décider de prendre ce guetteur à son piège. Si le couvent la rendue érudite et adroite aux lettres, elle l’a également poussé à la débrouillardise lors des excursions interdites dans la forêt entourant le couvent !
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Gaspard de Castries Son frère chéri, celui qui serait né juste avant elle. Elle l’adore, l’admire et cherche à la protéger malgré sa faiblesse de femme. Elle n’accepte pas ses doutes concernant un possible mystère provenant du passé mais elle doit se rendre à l’évidence, ce qu’il se passe depuis quelques semaines pourrait donner raison à Gaspard ; son orgueil de femme refuse de montrer ses torts et elle continue à démentir les affabulations de Gaspard. Elle sent que les sentiments de Gaspard évoluent, mais à cette idée, elle fait tout pour le repousser et éviter ce terrible péché entre frère et sœur.
Benjamin de Lesguières Pour mettre sur pied les souhaits de son père, Benjamin est capable de tout, même de s'approcher au plus près de sa cible afin d'endormir sa confiance. Mais Victoire n'apprécie pas les manières trop étouffantes du jeune homme et celui-ci ne prend pas garde, montrant parfois son véritable visage. Plus Victoire doute, plus Benjamin s'accroche pour ne pas la laisser filer.
Guillaume de Montmorency La douce jeune femme a su attirer le mystérieux héritier, mais celui-ci reste distant, sentant la jeune femme s'éloigner petit à petit. Elle craint qu'il ne s'agisse d'un ennemi, un créantier ou opportuniste, seulement intéressé par sa dot. Ne voulant l'effrayer, Guillaume se contente d'être un ami sûr, la poussant à se confier.
James Carlisle C'est l'altruisme de Victoire qui l'a poussé à parler au jeune duc lors de ce bal qui a fêté l'arivée de la délégation anglaise. Ils partagent la même culture, et petit à petit, l'un et l'autre se livre, échangeant certains secrets qu'ils pensent soigneusement conservé par l'autre. Mais les intérêts révèlent souvent les facettes les plus sombres.
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| Sujet: Re: ~Serez-vous...grands atouts du royaume? Lun 28 Nov - 14:05 | |
| ♣25 ans ♣Célibataire ♣français ♣Comte de Castries ♣Chace Crawford ♣LIBRE Franc, Direct, Scrupuleux et honnête, Discret mais efficace, Loyal, Grand joueur, Aime le défi Gaspard et Victoire. Victoire et Gaspard. L’un ne peut aller sans l’autre et dans la famille de Castries, jamais, depuis leur naissance, l’on a eu de cœur à séparer les deux jumeaux. Gaspard, né en premier, est d’un naturel discret et honnête. Peu enclin à l’hypocrisie, il est d’une franchise déconcertante, ne mettant peu la langue dans sa poche et s’attirant ainsi quelques foudres de gentilhommes. D’éducation provinciale mais stricte et rigoureuse, il a bénéficié de leçons d’armes à la hauteur des espoirs paternels et a continué ses études au Collège de Clermont à Paris, où il s’illustrait auprès de ses professeurs. Une tête bien faite et bien pleine, voici ce qu’on disait de Gaspard de Castries. Mais un homme ne pouvait être si parfait et c’est dans le jeu que Gaspard trouva sa faiblesse, se retrouvant bien trop souvent poussé à quémander de l’argent à sa sœur ; sa fierté l’empêchera toujours de l’avouer.
Depuis l’âge où l’enfant comprend le monde, Gaspard a toujours senti autours de lui un voile de mystère entourant sa naissance. Ce fut à vingt ans, à la mort de leur père, qu’il découvrit que sa sœur était en réalité la fille de Sophie et Jacques de Lesguières, tragiquement disparus lorsque l’enfant n’avait que quelques semaines.
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Victoire de Castries Sa sœur, sa moitié, son tout. Il la chérit plus que tout et le mystère qui a longtemps enveloppé leur naissance l’a poussé à se rapprocher de plus en plus d’elle. Elle n’a jamais voulu entendre les doutes de son frère et à présent, il n’ose lui révéler la vérité, de peur de blesser Victoire. La protéger est tout ce qu’il peut faire pour ne pas qu’elle soit blessée par la vérité sur sa naissance. Mais petit à petit, les sentiments fraternels se muent en de sentiments plus forts, au risque de mettre en péril ses décisions.
Louise de Nogaret Sa promise depuis son enfance. Il n’apprécie pas les manières de la jeune femme et ses habitudes à le questionner sur Victoire ou sa famille. La jeune fille est trop ambitieuse, hypocrite et capricieuse pour qu’il se force à être aimable avec elle. Il se doute que Louise serait capable d’aller bien plus loin pour lui faire cracher le morceau sur les secrets de famille.
Valeria di San Fiore La jeune femme ne pensait un jour rencontrer celui qui la troublerait autant. Plus encore, elle ne pensait pas qu'il serait l'un de ses amis. Mais Gaspard a su faire battre un peu plus fort le coeur de la jeune femme, la poussant à culpabiliser vis à vis de son mari. Elle se force à ne pas le laisser paraître pour ne rien briser de leur amitié, mais son imagination fertile ne l'aide en rien! Le secours viendra du côté du jeune homme qui a percé à jour les desseins italiens de Valeria; ne pouvant accepter un évident conflit, il a fermement rejeté l'italienne qui cherche à présent à retrouver quelques faveurs.
Constance Bonacieux Par l'entremise de son poltron de mari, Constance a eu vent d'une partie de l'affaire Castries. A ses yeux, Victoire n'est qu'une orpheline recueillie et elle est loin de se douter de la réalité des circonstances. Elle pense Victoire informée de la vérité et dans le but d'être une petite main et ainsi l'aider à retrouver ses origines, l'étourdie a simplement envoyé une lettre à Victoire. Bien mal lui en a pris, car le premier à l'avoir lu est Gaspard et voyant-là une écervelée qui pourrait éventer un trop lourd secret et mettre en péril Victoire, le jeune homme pourrait tenter de la faire taire par de nombreux moyens!
♦ Guillaume de Montmorency♦ ♣31 ans ♣Célibataire ♣Française ♣Comte d'Eybens, fils illégitime du comte de Montmorency-Bouteville ♣Matthew Bomer ♣LIBRE Brave, Courageux et Téméraire ; Humble ; Sang-froid ; Solitaire mais ses sentiments familiaux le rattrapent ; A sa propre morale ; Peu enclin aux conventions ; Peu influençable ; Possède son propre sens de l’honneur Il avait suffit d’une nuit, peu avant son mariage, pour que Guillaume vienne au monde. Fils illégitime du comte de Montmorency-Bouteville, celui-ci ne fut néanmoins pas ignoré de son père qui, s’il ne pu le reconnaître pour éviter tout incident diplomatique et de bienséance, suivi l’éducation de ce fils qui pourrait, si les aléas de la vie lui prenaient ses enfants, reprendre ses titres s’il le fallait. L’éducation du jeune Guillaume fut donc de qualité, mais succincte. On ne lui enseigna que ce qu’il devait savoir pour entrer dans une vie mondaine sans se faire remarquer par un manque de convenances. Poli, droit, le garçon eu une enfance éteinte et sans éclat, en attente d’un signe de la part de son père. Mais 1615 vit la mort de ce protecteur ; peu avant sa mort, celui-ci n’avait dévoilé son secret qu’à son cadet. Si François souhaita se lier avec ce frère, Guillaume refusa, n’osant s’immiscer dans une famille qui n’était la sienne. L’humilité du jeune homme le laissa ainsi éloigné de ses frères et sœurs. Ses deux demi-frères prirent successivement la tête de la famille de Montmorency-Bouteville et sans toutefois nourrir contre eux une rancœur pourtant compréhensible, Guillaume s’efforça d’oublier ce qu’il ne pourrait jamais atteindre. Quittant alors le giron familial à 20 ans, il entreprit une vie d’aventures sous le nom de la terre offerte par son défunt père pour lui assurer un revenu : comte d’Eybens. Il parcouru ainsi la France du sud au nord, de l’est à l’ouest, glanant jeunes femmes et duels au cour de sa traversée, se faisant une culture personnelle et une envie inassouvie de connaissance. Il ne revint à Paris qu’en 1624, désireux de faire fructifier ses revenus ; mais cette famille à qui il avait volontairement tourné le dos l’attira à nouveau à lui lorsque son demi-frère fut emprisonné pour avoir bravé les édits du Cardinal. Le sentiment familial qu’il avait cherché à oublier lui revint soudainement et se rappelant des largesses de celui-ci, Guillaume se rallia à sa cause, cherchant à s’allier ses protecteurs. Ses voyages l’avaient rendu bien plus brave que ces courtisans parisiens et encore inconnu à la cour, Guillaume rejoignit le parti de l’ombre, de ceux qui œuvrent en silence contre l’ombre écarlate du cardinal. Petit à petit, Guillaume sera happé par une cause bien plus large que son propre but familial et sans qu’il ne s’en rende compte, il deviendra le paravent de nombreux courtisans trop heureux de trouver en lui une main armée.
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Gabrielle de Verneuil La jeune femme a tous les atouts qu'apprécie Guillaume et elle n'a pas hésité à entrer dans son jeu, à en oublier les menaces de son mari pour attirer à elle l'aventurier. Son but n'est pas uniquement de tromper le duc, mais surtout de faire de Guillaume un allié de poids, dont elle armera le bras contre Richelieu. Il sait sa proximité avec la duchesse de Chevreuse, mais la jeune femme, prise entre cette relation et son amitié, ne peut trahir les confidences de Guillaule à l'encontre de Marie. Elle se contente d'apaiser les éventuelles tensions et de garder Guillaume auprès d'elle pour mieux agir par la suite.
Louis de Sérigny Peu au fait de toute la cour à son arrivée, Guillaume a néanmoins vu en Louis un potentiel allié, plus sûr peut-être que la déroutante Gabrielle de Verneuil. Leurs familles furent autrefois liées et en souvenir du passé, Louis a accepté d’entendre la requête de Guillaume pour sauver son frère de l’échafaud, qui a joué de franchise avec lui. Louis oscille entre deux sentiments, ne souhaitant désobéir au roi, et sachant que l’exécution possible d’un Montmorency pourrait faire rejaillir de nouvelles tensions chez les Grands. Il accepte d’aider Guillaume, mais reste toutefois distant.
Victoire de Castries La jeune femme est d'un intérêt avouable à la cour. On la dit douce, intelligente, jeune fille accomplie, mais plus encore que son éducation et ses qualités, ce sont sa dot et son nom qui ont attiré Guillaume. Epouser une Castries? Pour un fils illégitime, l'affaire est intéressante. Le jeune homme est bien capable de mettre de côté ses scrupules pour approcher la jeune femme et la pousser à envisager cette décision; et la tache est d'autant plus aisée que Victoire a rapidement apprécié ce garçon aventureux et voyageur. Mais en ce faisant ami bien intéressé, Guillaume pourrait mettre le doigt dans un engrenage bien dangereux!
Benjamin de Lesguières Il ne fait pas bon d'être proche de Victoire de Castries en ce moment, et Guillaume en a déjà fait les frais. Benjamin voit d'un mauvais oeil le rapprochement entre sa cousine et le comte et par tous les moyens, cherchent à séparer les deux amis. Une maladresse de la part de Benjamin l'aura fait se dévoiler aux yeux de Guillaume, mais bien loin de se douter de la vérité, ce dernier voit en Benjamin un simple concurrent. Un duel les a déjà opposé et à présent, une haine tenace les lie.
♦ Benjamin de Lesguières ♦ ♣26ans ♣Célibataire ♣Française ♣Baron de Lourmel ♣Ian Somerhalder ♣LIBRE Indocile, Soumis à son père, Impulsif, A perdu confiance en lui, Froid, mais se force à ne pas le paraître, A perdu ses scrupules Enfant unique, ayant grandi dans les faubourgs de Paris, Benjamin n’a cessé d’être surveillé par son père, qui souhaitait voir en lui le futur héritier de la fortune de son frère. Longtemps, son père avait espéré que Jacques, son frère aîné, ne disparaisse sans avoir eu d’enfant, mais la naissance d’une petite fille ôta ces espoirs. Lesguières n’hésita pas et supprima père et mère, ne sachant aucune des clauses du testament de son frère, désignant Victoire comme l’unique usufruitière des revenus des terres qu’il possédait. Mais à présent dans le giron des Castries, Victoire ne pouvait être atteinte et longtemps, son oncle la guetta. Benjamin grandi dans ce désir inassouvi de liquider sa petite cousine. Il suivi les préceptes de son père, pour qui il vous une immense admiration et tâche d’être à la hauteur.
Mais c’est un homme longtemps rabaissé, critiqué et qui a perdu confiance en lui. Elevé loin de sa mère, il cherche à la retrouver malgré les interdictions paternelles. Froid, il se force à jouer un rôle de courtisan aimable et aimé en public, mais il déteste la cour et ces frivolités. Il ne cherche qu’à s’occuper du sort de Victoire afin que son père puisse enfin le juger à sa juste valeur.
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Victoire de Castries Sa petite cousine, qui est aussi sa cible n°1. Sur ordre de son père, il doit la faire disparaître, pour ainsi se voir récupérer les terres appartenant à son frère aîné. Il n’a donc pour elle aucune considération et a apprit à la juger insipide et hautaine. Revenue depuis peu à Paris, il rôde autours d’elle la nuit, mais le jour, tente de l’approcher sous un autre nom afin d’acquérir sa confiance.
Angel Mores de Allueva Le jeune français a cru aux affabulations d’Angel – hébergé lors des voyages de l’espagnol - pendant quelques semaines. Mais lorsque son valet a surprit l’espagnol enjamber un balcon, les bras chargé de sac de pièces d’or, une haine tenace s’est installée en Benjamin. L’atout du français est l’ignorance d’Angel au sujet de cette nuit-là : le voleur pense toujours avoir agit en toute discrétion, mais lorsque Benjamin apprend la présence d’un espagnol à Paris, il n’hésite pas et s’apprête à confondre son voleur. La vie paisible d’Angel à la cour pourrait bien vite devenir bien plus rude.
Porthos du Vallon Benjamin pourrait de lui même faire la peau à son espagnol, mais il préfère confondre celui-ci qui est bien trop ancré à la cour. Angel, favori de la nièce de la reine-mère, ne peut-être ainsi tué au cours d'un duel, sans que Benjamin n'en soit inquiété! Il préfère donc demander l'aide d'un des plus valeureux des mousquetaires. Il sait Porthos fidèle à sa parole et contre toute attente, Benjamin joue même de franchise avec lui! Heureux de prêter main forte à un jeune homme qui semble si aimable, Porthos se lance sur les traces d'Angel.
Isabelle de Lamballe L'espionne pense à tort que Benjamin est lié à quelque complots servant à se débarrasser du cardinal. Toute entière à sa mission, elle redouble d'efforts pour tenter de l'écarter, même si ceux-ci pourraient l'amener à le faire totalement disparaître. Tout est bon, même la haine publique que la jeune femme lui sert sur un plateau d'argent! Ils ne se privent ni l'un ni l'autre de se rappeler ce sentiment, mais Benjamin ne sait encore quelles sont les véritables motivations d'Isabelle. Elle n'est une épine dans son pied que par sa faculté à se trouver partout où elle ne devrait être!
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